LE FILON D’OR

LA TERRE SE MEURT ! Relance le journaliste de télévision du 20 heures de janvier 2020. On le sait depuis 1980, et qu’a-t-on fait depuis tout ce temps ? Rien, si juste le fait de constater le déclin antérieur.

A l’heure actuelle encore, depuis plus de trente où la machine du mondialisme s’insurge à détruire notre faune et flore par des pesticides et cultiver l’agriculture intensive, déforester et sur-bétonner même sur le moindre chemin de parc forestier, continuer à produire du plastique et installer des usines de recyclage sur des terres naturelles, continuer à produire l’effet de serre, continuer à fabriquer de nouveaux produits polluants (Voitures SUV, 5 G, capsules de café, etc) on en est encore là.

Quand soudain, toute la conscience collective s’est réveillée lors du déconfinement. La razzia de tout objet concernant le monde animal et des paysages naturels est faite. Presque plus de calendriers aux images d’animaux, le moindre livre documentaire de tout paysages et animaliers sont convoités dans les commerces. Les fameux DVD du commandant Cousteau et de l’émission Ushuaïa sont pris d’assaut dès leur réimpression.

Les dons fusent pour sauvegarder les territoires naturels et les espèces en disparition.

Les commerces à vendre sont réquisitionnés pour sauver les animaux des propriétaires et personnes malveillantes.

A tel point, que des jardins improvisés sont crées sur les balcons des immeubles, les plaques de béton sont enlevées sur les trottoirs laissant place à de futurs arbres jalonnés avec de véritables massifs de fleurs. Même sur les places mornes de béton, des sapins, rosiers, plantes en tous genres sont répandus avec parcimonie, le regard n’éprouve aucune anormalité et au contraire n’est plus agressé avec ce désert d’avant. Ce qui reste de la moindre zone naturelle est protégée comme une mère avec son enfant.  

Le prix du terrain naturel devient une source prisée pour de futurs acquéreurs conscients d’un futur lendemain. C’est le filon d’or.